Atos : l’Etat prêt à racheter les actifs souverains, mais au prix bas
Bercy offre, de façon non engageante, 700 millions d’euros au mieux pour les systèmes utiles à la dissuasion, aux commandements des armées et aux services de renseignement du géant informatique. Une négociation serrée s’annonce sur le prix, alors que les industriels privés, notamment Thales, s’apprêteraient à entrer dans le jeu.