Atos rejette l’offre de l’Etat pour ses systèmes de défense, mais laisse sa porte ouverte
En désaccord sur le prix, l’ex-fleuron informatique a rejeté la dernière offre de l’Etat pour lui racheter les supercalculateurs de la dissuasion nucléaire et les systèmes liés aux commandements des armées et aux services de renseignement.