«Nous sommes désespérés» : à Marseille, le calvaire d’un couple de propriétaires hantés par une voie qui n’existe pas
Martine et Roland R. ont été condamnés à verser 40.000 euros de dommages et intérêts à leurs voisins pour une clôture jugée trop avancée. Mais le statut de la parcelle qui jouxte leur terrain n’est pas formellement établi, plongeant le couple dans un imbroglio juridique.