Atos : faut-il craindre une prise de contrôle par les seuls créanciers ?
Le géant informatique de 94.000 collaborateurs et 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires s’apprête à basculer la majorité de son capital entre les mains de hedge funds, d’investisseurs obligataires et de banques. Un type de prise de contrôle éprouvé dans de nombreuses restructurations en France, mais inédit par sa taille.