Grippe aviaire: l’OMS craint que le virus ne s’adapte «plus facilement» à l’espèce humaine
Les mammifères contaminés sont proches biologiquement de l’homme ce qui pourrait aider le virus à s’adapter afin de se propager à l’espèce humaine.
Les mammifères contaminés sont proches biologiquement de l’homme ce qui pourrait aider le virus à s’adapter afin de se propager à l’espèce humaine.