Au procès du «forcené des Cévennes», les troubles paranoïaques de l’accusé au cœur du double homicide
COMPTE RENDU D’AUDIENCE – Des brimades au collège, puis des conflits dans le cadre professionnel, ont fait naître chez Valentin Marcone un sentiment d’insécurité et de persécution. Les experts estiment qu’au moment des crimes, ses tendances paranoïaques ont altéré sa perception de la réalité.