À partir d’avril, les antécédents judiciaires des professionnels du handicap seront vérifiés avec une «attestation d’honorabilité»
«Aucune personne condamnée pour les crimes de violences, d’agressions ou d’atteintes sexuelles ne doit pouvoir travailler auprès d’enfants», a déclaré la ministre déléguée à l’Autonomie et aux Personnes en situation de handicap Charlotte Parmentier-Lecocq lors d’un colloque ce mercredi.
