Traité de «pire courtisan» par Dupond-Moretti, Estrosi se dit «libre» après avoir réclamé la démission de Macron
En tant que numéro 2 du parti Horizons, le maire de Nice a suivi la position d’Édouard Philippe, qui avait le premier réclamé le départ d’Emmanuel Macron et la tenue d’une présidentielle anticipée.
